Mon enfant, je suis là.
Si tu as besoin de moi, je suis là.
Tu ne peux pas me voir,
pourtant je suis la lumière qui te permet de voir.
pourtant je suis la lumière qui te permet de voir.
Tu ne peux pas m'entendre,
pourtant je parle par ta voix.
pourtant je parle par ta voix.
Tu ne peux pas me toucher,
pourtant je suis la force de tes mains.
pourtant je suis la force de tes mains.
Je ne suis pas dans les visions surnaturelle,
ni dans le « miraculeux ».
ni dans le « miraculeux ».
C'est dans le silence, au profond de ton être que tu me trouves,
Comme un élan, comme un sourire, comme un amour.
Comme un élan, comme un sourire, comme un amour.
Je suis vraiment là, je t'écoute, je te parle tout doucement.
Quand tu as besoin de moi, je suis là.
Dans tes blocages, je suis là.
Dans tes blocages, je suis là.
Dans ta solitude, je suis là.
Dans tes angoisses, je suis là.
Dans tes peines, je suis là.
Dans tes angoisses, je suis là.
Dans tes peines, je suis là.
Tu m'ignores peut-être, mais je suis pourtant là.
Ta foi en moi est vague,
Mais ma présence demeure.
Parce que je t'aime.
Mais ma présence demeure.
Parce que je t'aime.
Mon enfant, je suis là.
James Dillet Freeman,
poète et pasteur de l’Unity Church aux États-Unis
Traduction Gilles Castelnau
Source : Protestants dans la ville, le 21 octobre 2008
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